On savait Gaël Horellou à l’aise avec des “machines” voir ses projets en solo. Ici il s’associe au prodigieux batteur new-yorkais Ari Hoenig pour développer des “Nasty factorz” titre de leur récent album.
Un projet à la frontière de la techno et du jazz. Deux musiciens au sommet de leur art.
Ari Hoenig, casque vissé sur la tête, yeux fixés sur les partitions. Rythmes, breaks, puissance et précision. Démoniaque.
Gaël Horellou au sax alto. Mais pas que , il est entouré d’un univers de technologies qui envoient des sons, qui triturent l’alto. Des musiques entêtantes, répétitives et qui prennent corps.
Une synergie : pas deux fois mais puissance 2