Vincent Périer arrive sur scène, le trompettiste Julien Bertrand, le tromboniste Loïc Bachevillier et le batteur Francis Decroix le rejoignent à cour tandis que le guitariste Thibaut François et le claviériste David Bressat s’installent à jardin et le contrebassiste Thomas Belin en fond de scène.
Le set commence par un entraînant Cheek to cheek. Dès le deuxième morceau, Célia Kameni les rejoint pour interpréter deux chansons sur l’espoir (une en français et une en anglais) puis nous emmène dans son univers pour trois autres œuvres.
Elle rejoint les coulisses tandis que Vincent Périer et ses musiciens entament un long morceau qu’il a composé et magnifiquement arrangé, qui donne notamment sa place à chaque membre du groupe, nous permettant ainsi d’apprécier leur talent.
Célia revient pour quatre autres chansons dont une composée à nouveau par Vincent Périer, en français ! Quel plaisir d’entendre notre belle langue dans un phrasé si velouté, si expressif, si ressenti !
À la fin de ce concert généreux, une dernière fois, Célia nous gratifie de son art, de son sourire, de sa beauté simple et naturelle, accompagnée de ce septet où règnent une entente palpable et une harmonie qui nous ont emmenés en dix chansons et quatre-vingt-dix minutes dans une autre dimension où nous voudrions rester…