(26) DrômeCrest Jazz Vocal

06/08/2022 – Concert des stagiaires du Crest Jazz

A Crest la tradition a été respectée et le samedi après-midi a été consacré au concert de restitution  des stagiaires.
Cela s’est passé dans la cour de l’école Chandeneux à quelques mètres de l’école Royannez en travaux.

Voici l’ordre de passage des stages avec le nom du Maître de stage, et de son accompagnant ainsi que les morceaux présentés

Roland Merlinc à la batterie et Alexandre Bès à la contrebasse ont accompagné tous les groupes (trois heures par une belle température, respect !)

 

Yasmina Kachouche accompagnée par Julien Maire (stage des enfants)

Avec les plus jeunes  It don’t mean a thing deDuke Ellington

Puis avec les plus grands Prelude to a kiss puis Caravan avec Roland Merlinc en beat boxer (une première)

 

Laurence Saltiel accompagnée par Joël Bouquet

Des polyphonies en guise de mise en bouche. Puis Alone together

 

Loïs Le Van (stage intermédiaire) accompagné par Sandrine Marchetti

Falling grace de Steve swallow

I remember you

 

Roger Letson accompagné par Joël Clément

I’m old fashioned (Roger qui pratique l’auto dérision en convient lui-même)

Time after time

 

Laura Littardi accompagnée par Benoît de Mesmay

Tell me de Al Jarreau

The lamp is low

 

Geneviève Fraselle (intermédiaire) accompagnée par Martial Host

Do it the hard way de Richard Rodgers / Lorenz Hart, version et scat Chet Baker

Prophet birds de David Linx

 

Jérôme Duvivier accompagné par Frédéric Allérat

Broadway de Gerry Mulligan

Line for lions de Gerry Mulligan

 

Fred Peñas accompagné de Dorian Dumont

“Le piano de mauvaise vie” ( Jeru de Gerry Mulligan)

2 Loop songs de Bertrand Gröger

 

Adèle Bracco accompagnée par Joël Bouquet au piano et Bernard Defond à la guitare

Sem compromisso chorale (bossa)

Hit that jive Jack

 

Eduardo Lopes accompagné par Pascal Salmon

A chamada de Milton Nascimento

Os Rios de Claudio Nucci & Juca Filh

Labareda de Baden Powell & Vinicius de Moraes

Menino de Roque Feirera

 

Ont collaboré à cette chronique :