Après les deux duos (voir ici et ici), prenez les quatre musiciens et faites les jouer ensemble pour le fun.
C’est ce que propose le festival pour finir le dimanche en beauté.
Le premier morceau est une composition de François : Sanza. Jean-Luc sort son étrange hautbois transparent (en altuglass de la maison Marigaux, excusez du peu) pour dialoguer avec le soprano.
Le quartet poursuit avec une autre composition de François, nettement plus « martiale » (sic), Le coffre du mort.
Arrive le moment tant attendu du « slow de l’été » avec Naïve. Un morceau d’une grande douceur où la flûte prend un superbe solo tout en rondeur.
L’alambic nous transporte dans un coin d’Afrique (à découvrir).
Max’s Axe est une composition d’Olivier Hutman.
Le concert s’achève sur une composition de Jean-Luc appelée Obopolis, ville dont il rêverait d’être le maire raille François et Jean-Luc de surenchérir « tout le monde serait obligé de jouer du hautbois ! »
Le rappel se fera sur un Night in Tunisia improvisé, les musiciens communiquent du regard pour savoir où aller. Magique.
Quand vous lâchez quatre bons musiciens de jazz avec peu de contraintes, il en ressort toujours un bon jus, c’est ce que nous avons reçu ce soir.
