C’est le troisième concert proposé par Jazz à Vienne dans cet Odéon en friche qui revit ainsi.
Siân Pottok est une citoyenne du monde avec au moins quatre nationalités dans ses veines, sans compter les résidences un peu partout dans le monde.
Elle nous propose ses compositions. Genre folk teinté d’africanisme. Les percussions d’Edouard Coquard et le kamele n’goni (cosuin de la kora) de Siân y contribuent grandement.
Ses chansons s’inspirent des moments heureux ou malheureux de sa vie. Des textes parfois militants (« Mon corps est le plus grand des trésors. C’est mon corps .»)
C’est donc un set très personnel qui provoque l’empathie du public.
La voix est agréable et la gestuelle douce. Un moment de calme et de plénitude en dépit du cagnard assomant.
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Siân Pottok: voix, kamele ngoni, guitare, sanza
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Alexandre Millet: claviers
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Edouard Coquard: batterie, percussions
