« JW » aucun rapport avec les Témoins de Jéhovah, non, tout simplement Jazz & Wine Big Band car ce big band joue souvent dans des propriétés viticoles et que certains des musiciens sont également vignerons.
- Cinq trompettes
- Quatre trombones
- Cinq saxophones (deux ténors ; deux altos et un baryton)
- Une section rythmique (piano, basse, batterie)
Soit dix-sept musiciens sur scène.
Cet orchestre est placé sous la direction de Philippe Khoury.
Le band commence par deux morceaux de son ancien répertoire dédié aux femmes du jazz avec deux morceaux arrangés ou signés par Maria Schneider.
- Ladybird de Tad Dameron, arrangement par Maria Schneider
- Wyrgly de Maria Schneider, un morceau complexe qui exprime bien toute la science de la composition et de l’arrangement de cette musicienne exceptionnelle.
Ensuite place au nouveau répertoire dédié à Quincy Jones disparu cette année et qui a grandement marqué notre époque (et c’est une litote).
- Quintessence Quincy Jones où Damien Gomez fait Phil Goods. D’après Philippe c’est le meilleur album jaz de Quincy.
- Hard sock dance de Quincy Jones une forme de blues hybride où les jeunes du band viennent tour à tour improviser au micro de soliste.
- For Lena and Lenny de Quincy Jones (Philippe Khoury nous explique que cet arrangement écrit initialement pour le Big Band de Count Basie avait été remanié pour les Double Six de Mimi Perrin alors qu’il faisait ses classes chez Nadia Boulanger).
- En 1984 le gouvernement américain lui a commandé la musique d’ouverture des J.O. de Los Angeles d’où est extrait Grace un tantinet sirupeux.
- Fin du set avec une composition de Sammy Nestico le compositeur fétiche de Count Basie. Ya gotta try … harder. Celle-ci a été revisitée par Quincy Jones qui lui a rajouté un paquet de vitamines. Gare aux sorties de route ! Marc Chevalier prend le dernier solo au bugle.
