Christine Vallin nous promet un set de reprises et quelques compositions. Elle est pour une fois au clavier (et à la voix lead)
Malcolm Potter est bien sûr à la contrebasse et aux chœurs.
Enfin, Carole Godet, qui se présente comme batteuse, joue d’une batterie minimaliste : caisse claire, charleston et cymbale plus un cajon en guise de siège.
Le répertoire :
-
Don’t know why de Nora Jones
-
Caravan de Duke Ellington
-
Ile Jane de Christine Vallin
-
Hit the road Jack de Ray Charles où Christine nous montre l’étendue de son scat
-
Cover me de Christine Vallin, sur une rythmique de reggae et une contrebasse bien trafiquée
-
My baby don’t care de Nina Simone
-
Feelin’good dans la version de Nina Simone
-
Sweet dreams d’Eurythmics
-
Is’nt she lovely de Stevie Wonder, chantée par Malcolm qui nous confie que la première fois qu’il l’avait chantée, c’était… à Parfum de Jazz
-
Hallelujah, I love her so de Ray Charles également chantée par Malcolm
-
Via via (it’s wonderful) de Paolo Conte. Il est plaisant de voir une partie du public reprendre (du bout des lèvres) le refrain et danser sur ses chaises.
-
Little humain de Christine Vallin
-
Final sur Georgia de Ray Charles.
Vous pouvez le constater, les morceaux joués, à l’exception des trois compositions de Christine, font partie du « domaine public » et le public averti ou pas était en pays de connaissance. Retenons les interprétations et les arrangements personnels de Christine. Une voix qui colle aux morceaux, des libertés dans les improvisations, surtout en scat, le soutien sans faille de la batteuse et du contrebassiste, les apports aux chœurs.
Bilan un set qui est passé « comme une lettre à la poste », avec un public ravi.
Les musiciennes et le musicien:
-
Christine Vallin: voix, clavier
-
Carole Godet : cajon, batterie (minimale), chœurs
-
Malcom Potter : contrebasse, chœurs et voix
